Un hiver sans antibiotiques

 

La médecine naturelle face à l’antibiorésistance

Depuis les années 1920, les antibiotiques ont été utiles dans la lutte contre la pneumonie, la tuberculose et la méningite. Mais, au fil des décennies, les bactéries se sont modifiées pour résister à ces traitements.

On constate ainsi que de plus en plus de pathologies infectieuses, initialement anodines, sont devenues traînantes, voire incurables, et que les infections nosocomiales sans traitement curatif sont en hausse. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ces résistances sont à l’origine de « 700 000 décès par an dans le monde – et 10 millions à l’horizon 2050, soit autant que le cancer, si on ne fait rien ».

 

Surconsommation et sous-consommation d’antibiotiques (traitements non terminés, médicaments frelatés) sont les causes majeures de la résistance antimicrobienne. Confrontée à ces problèmes, l’OMS a demandé aux États et aux grands groupes pharmaceutiques de créer une nouvelle génération de médicaments capables de lutter contre les « superbactéries » ultrarésistantes.

En France, le gouvernement a ainsi doté un programme de recherche de 40 millions…d’euros et lancé une nouvelle campagne de communication. Son slogan : « Les antibiotiques, ils sont précieux, utilisons-les mieux ».
>> suite de l’article ici en téléchargement Plante & santé 197 janvier 2019 Un hiver sans antibiotiques

source Plante & santé

 

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