Quand la Neuroscience rejoint la Transmutation des mémoires cellulaires avec le livre « Neuroscience et chamanisme » d’Alberto Villoldo et David Perlmutter.
Liens entre les mémoires cellulaires, activées pendant l’enfance et générant des schémas limitants dans notre vie d’adulte, et les circuits neuronaux toxique.
En allant explorer un choc émotionnel que l’on a vécu en tant qu’adulte. En prenant le temps de rechercher ce même schéma dans notre vie d’enfant. Et en le transposant sur le transgénérationnel (ce qui permet de se désidentifier de cette même croyance), on commence le travail de conscientisation. Ce qui permet l’évolution de nos chemins neuronaux.
Grâce à la transmutation des mémoires cellulaires, on va inscrire ce changement de circuit au niveau énergétique et accélérer la reprogramation de notre système neuronal.
Notre façon de penser, de ressentir et d’agir devient donc différente.
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Extrait:
Le renforcement des chemins neuronaux toxiques et des croyances inconscientes
Les réseaux neuronaux sont des structures plastiques, dynamiques, une constellations de neurones qui s’illumine momentanément pour accomplir une tâche précise. C’est pourquoi, lorsque nous ruminons certaines pensées (bonne ou mauvaise) ou pratiquns certaines activités (bénéfiques ou néfastes), nous renforçons les réseaux neuronaux correspondant à ces pensées ou à ces activités. Chaque fois qu’une situation vient rééveiller le souvenir d’une experience terrifiante ou dangereuse du passé et les émotions instinctives associées, ce réseau neuronal précis se trouve à être renforcé. Cela modifie les émotions toxiques, de même que les réseaux neuronaux du cerveau limbique, et crée des croyances inconscientes sur la vie en général. Ces croyances sont à l’origine de toutes actions et de toutes nos réactions.
….Ce renforcement peut prendre place à notre insu ou lorsque nous revenons sur un traumatisme émotionnel pour nous attirer la sympathie d’autruie ou nous disculper. Ainsi, on peut affirmer par exemple: « Je ne peux pas me conduire avec maturité; j’ai eu une enfance épouvantable. » En formant et en répétant de telle affirmations, on renforce les réseaux neuronaux et les habitudes émotionnelles aussi nettement que la posture que l’on a adoptée après un tour de rein, qui continue d’affecter les vertèbres et les muscles de l’épine dorsale. Ces réseaux engendrent des émotions, ouis des croyances qui entretiennent la souffrance passée, ainsi que des comportements qui renforcent continuellement le traumatisme de même que la pitié que nous avons si bien appris à exploiter.
Si l’on en dresse le schéma, cela ressemble à ceci :
Bien que cette spirale répétitive ait toutefois assuré notre survie, c’est aujourd’hui un cercle vicieux engendrant des croyances erronée sur le monde, notre entourage, nos amis, voire notre famille.