Le devenir de l’âme après la mort du corps physique. Ce que tente d’expliquer le journal Nexus de janvier 2018.
Lors de pratiquement chaque expertise en géobiologie, Sylvie notre géobiologue est confrontée à ce genre d’expérience. La détection des phénomènes qualifiés « paranormaux « , systèmes particuliers et non cohérents font partie de la mémoire des lieux. Suite à la lecture de l’article vous pouvez nous contacter.
Guérier le lieu c’est aussi se guérir. Un lieu harmonisé est un atout qui peut s’avérer déterminant sur notre chemin de vie.
L’idée que la possession est une affaire de démons et d’exorcisme est demeurée dans les esprits jusqu’à aujourd’hui. De nombreuses traditions, religieuses ou chamaniques, y font référence. On trouve, dans le nouveau testament, plusieurs passages où Jésus soigne des malades en les délivrant d’esprits parasites. Dans l’évangile selon Matthieu, on peut lire : « Comme ils s’en allaient, voici, on amena à Jésus un démoniaque muet. Le démon ayant été chassé, le muet parla. Et la foule étonnée disait : Jamais pareille chose ne s’est vue en Israël. Mais les pharisiens dirent : C’est par le prince des démons qu’il chasse les démons. » Dans l’esprit d’un Occidental, ce phénomène relève de la fiction, du folklore ou du religieux, mais pas du quotidien. Aussi, l’éventualité que l’on puisse, à l’issue d’un deuil, d’un avortement ou d’une banale anesthésie générale, par exemple, se retrouver « accompagné » d’une âme errante, est difficile à concevoir.