Ma vérité sur la mémoire de l’eau Jacques Benveniste

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ma vérité sur la mémoire de l’eau       Jacques Benveniste 

Soutenue par le médecin et immunologiste français Jacques Benveniste, la découverte de  la mémoire de l’eau fut l’une des grandes controverses scientifiques du XXème siècle. En 1988, cet ancien directeur de l’Inserm et treize confrères biologistes français et étrangers cosignent l’incroyable expérience sur ( la dégranulation des basophiles humains, induite par de très haute dilutions d’un antisérum anti-IgE). En clair, le chercheur affirme être parvenu à activer une cellule sanguine avec une solution d’eau contenant un anticorps totalement dilué. Ce qui signifie que l’information biologique s’est conservée dans le liquide. (L’eau a donc une mémoire), en conclut-il. S’appuyant sur ces travaux, le biologiste Luc Montagnier, colauréat du prix Nobel de médecine 2008 pour sa découverte en 1983 du VIH, a poursuivi dans les années 2000 les recherches dans ce domaine.

« Jacques Benveniste restera l’homme d’une polémique. Dans laquelle il aura tout gagné. Et tout perdu. Jacques Benveniste n’avait pas toujours été un chercheur à part. Jusqu’à sa découverte contestée, il avait été l’un des scientifiques français les plus publiés en immunologie, sa spécialité de départ, et les plus appréciés. En 1971, sa découverte d’un facteur activateur des plaquettes sanguines l’avait même placé dans tous les manuels de médecine ainsi que sur la liste des nobélisables. »

Eric Favereau, Libération

« Rencontrer Jacques Benveniste, c’était s’exposer aussitôt à cette marque de la rencontre. La marque de l’intelligence à l’état brut, rapide, en perpétuel mouvement. Une intelligence incarnée, capable d’excès de vitesse et de dérapages, mais ô combien généreuse, ouvreuse d’horizons, de mondes inconnus et d’espoirs infinis. »

Eric Fottorino