Linky TV News : JT du 5 mai 2018 Actualités LINKY

Ce sont les faiblesses conceptuelles des compteurs Linky (classe M1) qui engendrent des incendies !>>> pour plus info 
Les incendies récurrents des compteurs Linky (de classe M1) sont un phénomène préoccupant de sécurité publique et faire croire comme le fait actuellement ENEDIS que seuls les mauvais serrages des connections sont sources de sinistres est de … l’enfumage !

→ Le Linky est un condensé de composants électroniques incompatibles avec un appareillage de sous-tirage de puissance.

Le compteur connecté Linky a de nombreuses différences fondamentales par rapport aux compteurs traditionnels électromécaniques ou électroniques dont un dispositif intégré de coupure à distance, dit autrement, dans son boitier se trouve un disjoncteur de puissance ce qui signifie que c’est du deux en un par rapport à l’existant. Dans tous les cas, les consommateurs équipés de compteurs connectés Linky doivent savoir, même si en aval du Linky il y a un toujours un disjoncteur différentiel calibré au maximum, que le compteur Linky, qui est un appareil connecté, permet à ENEDIS à l’insu du consommateur de réaliser toutes les manipulations et modifications à distance qu’elle souhaite comme couper ou rétablir l’alimentation électrique, via le disjoncteur (organe coupures Réf 1 ci-contre) de puissance spécifique intégré dans le Linky.
Ce mini disjoncteur unipolaire sert aussi à limiter la puissance de l’abonnement en KVA et non pas en kW comme avec les disjoncteurs traditionnels, donc 12% de puissance ! Notons que la protection différentielle du Linky est à 500 mA donc à minima contrairement aux disjoncteurs traditionnels bipolaire surdimensionnés
qui souvent étant à 300 mA peuvent mieux techniquement prévenir un dysfonctionnement d’appareil, donc mieux protéger les personnes et les biens.

– Pourquoi les compteurs connectés Linky de classe M1 sont-ils sujets aux incendies ?
→ La norme : En France concernant les appareillages électriques En France, il existe un classement sous norme NF P92-507 qui est composé de 5 catégories qui définissent la réaction au feu des matériaux : elles vont de la classe M0 – incombustible à M4 pour désigner les matériaux les plus inflammables. Le Linky est de la classe M1 – combustible non inflammable, cela ne veut pas dire qu’il ne peut pas brûler, mais signifie exactement que le Linky est combustible, et qu’en l’absence de flamme il ne peut brûler …
→ Problèmes : Toutes surintensités ou court-circuits engendrent une très forte augmentation de la température des circuits par effet joule, avant il y avait en protection les disjoncteurs magnétothermiques ou des fusibles en plomb, d’où l’expression « les plombs ont sauté ». Maintenant indépendamment des fuites de courant vers la terre qui sont très bien maîtrisées par les protections différentielles, les gestions des points chauds dans le concentré de composants électroniques, contacts, connexions, dérivations et autres présentes dans le compteur Linky s’avèrent délicates lors de sous-tirage de puissance car ils opposent tous une Résistance Globale (RG), donc il existe un effet joule cumulatif générant une forte température qui par un cercle vicieux à son tour engendre une augmentation exponentielle de la Résistivité Globale électrique de certains points des composants et matériaux fussent-ils isolants avec au final des sources potentielles propices à l’amorce de départ de feux.
→ En conséquence : si le disjoncteur intégré au Linky dysfonctionne comme c’est généralement ce qui est constaté par tous les témoins (feux d’arcs électriques), les consommateurs ou les pompiers sont dans l’impossibilité de couper l’alimentation électrique, donc il est très difficile d’arrêter les départs d’incendies, les dégâts peuvent être importants, les pompiers simples spectateurs.
→ A ces phénomènes physiques connus se rajoutent en association aggravante pour les composants électroniques sensibles les pulses de la LDE – Linky Dirty Electricity sans et avec filtre (harmoniques et interharmoniques) du CPL :
Avec le Linky la fondamentale 220 V du courant électrique linéaire est parasitée en permanence par des pulses cycliques des trames du CPL dans la gamme des kHz, ceci provoque des échauffements dans certaines connexions du Linky d’autant plus importants que la puissance de sous-tirage augmente. Tous ces échauffements se conjuguent et augmentent fortement la température de tous les composants situés dans le boitier hermétique donc non aéré et non ventilé du Linky dont toute la structure en plastique injectée à une norme de sécurité incendie M1 du Linky est dite d’extinguibilité c’est-à-dire qu’elle peut brûler qu’avec une source de flamme ou un arc, mais s’éteint d’elle-même si elle n‘est plus soumise à une source. Fatalement en fonction d’une conjonction de facteurs, vieillissement précoce des composants inclus, il y a moult possibilités d’aboutir à une amorce de feu sur l’un des multiples points chauds du Linky suite à la fonte de composants associée aux dégagements de gaz inflammables.

→ Pourquoi ce défaut majeur n’a-t-il pas été détecté lors des tests essais ou dans la phase de tests en situations réelles ?
Les retours d’expériences montrent que bientôt depuis presque une décennie ENEDIS pensait tout maîtriser, de l’extériorisation de la communication et la non divulgation des problèmes, néanmoins toutes les avancées sur les connaissances de l’architecture, le système, les caractéristiques et les problèmes du Linky ont été arrachées aux cours des mois « aux forceps » de la preuve, dit autrement, ENEDIS n’a cessé de mentir aux citoyens /consommateurs pour favoriser l’acceptation de son concept qui va, ne nous y trompons pas, bien au-delà d’un simple comptage évolué.

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