Les différents types de pollutions électromagnétiques
Les systèmes de communications et technologies sans
fil génèrent un brouillard d’ondes invisibles, nommé
«électrosmog», mélange d’ondes radio, d’hyperfréquences
(micro-ondes), de basses et d’extrêmes basses fréquences.
Voici quelques unes des sources principales d’électrosmog :
> technologies utilisées pour la téléphonie mobile (64
millions d’abonnés en France pour 64 millions de français,
300 000 antennes relais en fréquences GSM, UMTS, 3G,
4G, ainsi que plus de 150 000 Répétiteurs Hertziens),
> WiFi créé à l’origine pour un usage de réseau
informatique et utilisé maintenant pour bien d’autres
fonctions (babyphones, consoles de jeu, téléphonie,
internet et TV sur tablettes (type iPad), sur téléphones
portables et iPod WiFi utilisés couramment par les
adolescents pour échanger sur les réseaux sociaux…).
Le Wifi est activé dans plus de 70 % des foyers, souvent à l’insu de son
propriétaire car préprogrammé par défaut par les opérateurs au moment de la
livraison de la «box», même en utilisant les câbles. Il est disponible dans de
nombreux lieux publics, alors même que cette technologie est interdite dans les
écoles en Angleterre, en Allemagne et en Autriche et qu’un rapport parlementaire
récent préconise de faire de même dans toutes les écoles d’Europe, jetant le
trouble sur l’avenir de l’usage des tabletPC et des tableaux numériques en voie
de déploiement dans l’enseignement.
> les téléphones sans fi l de type «DECT» ont leur base qui émet
en permanence, à de très rares exceptions près, dès qu’ils sont connectés
au courant. Ils émettent le même type d’ondes que ceux d’antennes de
téléphonie mobile tout en étant plus proches des habitants de la maison
ou des employés au bureau.
> et les autres techniques sans fi l de type Wi-max, Bluetooth, Tétra,
TNT pour la télévision numérique…
Les risques liés à ces champs électromagnétiques sont réputés certains puisque
les assureurs refusent de les couvrir… Et qu’en date du 6 mai 2011, une
résolution du conseil de l’Europe est adoptée pour mettre en garde les différents
pays de l’Union sur « Le danger potentiel des champs électromagnétiques et
leurs effets sur l’environnement ». Toute ressemblance avec le risque OGM,
nucléaire et nano-technologique est fortuite…
Évidemment, toutes ces agressions peuvent générer
un impact non négligeable sur notre fonctionnement
général et notre santé. En tant qu’ « homme
électromagnétique », c’est bien l’inocuité des ondes
sur le vivant qui serait surprenante. Il faut inverser la
charge de la preuve !
La particularité de ces ondes est qu’elles agissent sans
que nous puissions nous en douter puisqu’elles sont
inodores, invisibles et non audibles pour la majorité
d’entre nous. Cependant, des personnes sensibles qui en ont développé la
sensation, volontairement ou non, les ressentent y compris parfois de manière
douloureuse.
Voilà pourquoi il nous paraît indispensable qu’après la lecture de ces pages
émerge le besoin d’adopter des règles d’hygiène électromagnétique. Celles-ci
vous permettront d’agir en toute conscience sur ces ondes sans attendre la goutte
de trop qui vous fera basculer dans un état d’électrosensibilité contraignant. Il
s’agit non plus seulement de prévenir un risque, mais de préserver son intégrité