Un embryon sur dix environ a un jumeau, qui souvent disparaît durant la grossesse.
Pour des milliers de personnes, l’origine méconnue d’un profond sentiment de nostalgie, de mal-être ou de culpabilité.
À l’heure actuelle, on méconnaît à quel point le vécu intra-utérin est important pour le restant de la vie.
Près d’un être humain sur dix commence le voyage de la vie dans le ventre de sa mère accompagné par un jumeau.
Dès le premier instant de la conception, nos perceptions s’inscrivent dans nos cellules. Nous enregistrons ce qui se passe autour de nous. Nous pouvons percevoir la relation entre nos parents et les sentiments de notre mère tandis que nous grandissons dans son ventre. Nous pouvons sentir très intimement notre frère ou notre sœur. Nous entendons son cœur battre. Un jour cependant, dans un grand nombre de cas, l’autre cesse de grandir. C’est un choc.
Après la naissance, nous avons oublié. Mais, ces sentiments ont-ils disparu sans laisser de trace ? Le jumeau survivant subit un choc énorme dont il n’est plus conscient plus tard. Un grand vide subsiste alors en lui et l’impact affecte sa vie entière. Une mélancolie profonde, un sentiment de solitude et de culpabilité inexplicables peuvent être les conséquences de ce deuil précoce.
De nombreux musiciens et producteurs de films comme Nell et Le grand bleu se basent sur cette quête de l’unité perdue.
Les auteurs nous sensibilisent à cette situation peu connue et proposent des démarches thérapeutiques pour refermer cette cicatrice (en particulier les Constellations Familiales).
Cet ouvrage cite de nombreux cas vécus et exemples qui témoignent des situations et des résultats obtenus. Il ouvre des perspectives passionnantes