Le documentaire de Pierre Barnérias qui retrace ces derniers mois de « pandémie » est un véritable film coup de poing qu’il faut néanmoins encaisser. Avant qu’il soit trop tard…
« Le défi avec ce film sera de le montrer aux personnes qui ne savent pas déjà ! »
Danny Marquis
Monté telle une intrigue dramatique, le film Hold-Up, retour sur un chaos, qui sort le 11 novembre sur Viméo, est comme un coup de poing pris en pleine figure alors qu’on ne s’y attendait pas. On allume son écran pensant y découvrir (ou re-découvrir) toutes les erreurs de gestion, les revirements, les affirmations mensongères jamais infirmées, les manipulations commis par nos dirigeants, par les experts scientifiques, par de nombreux journalistes depuis le début de la pandémie du coronavirus.On se dit que ce documentaire servira à ne pas oublier, que oui, en 2020, nos gouvernants, nos spécialistes sont aussi incompétents, arrogants que ceux qui nous promettaient déjà l’apocalypse au moment de la grippe H1N1 de 2009. On se prépare même presque à
rire devant les bêtises rappelées d’une Sibeth Ndiaye, devant la raideur d’un Macron ou d’un Véran toujours droits dans leurs bottes pour dire tout et son contraire. Voilà encore, pense-t-on, qui va donner de l’eau à notre moulin lorsque nous en parlerons avec nos amis, ceux qui nous restent, à tout le moins, depuis qu’on affirme notre sceptique position à porter un masque ou à se faire vacciner.
De la létalité à l’interdiction d’autopsier
C’est exactement l’inverse qui se passe : le malaise va croissant au fil des 2 h 40 de visionnage. On n’en sort pas plus narquois ou convaincu de la bêtise des « élites » ; on en sort sidéré ! Sont ainsi abordées, preuves à l’appui, toutes les questions qui tournent purement autour de la maladie : la létalité réelle du virus, son origine, la gestion de la crise, l’intérêt du port d’un masque, celui du confinement, ses ravages psychologiques, la solitude des ainés en EHPAD, l’efficacité des tests, l’interdiction des autopsies, les prix supérieurs d’une consultation en cas de Covid, l’incroyable décision d’interdire l’hydroxychloroquine, la non moins incroyable affaire du LancetGate, etc. Experts de renom, médecins, avocat, député, anthropologue, sociologue, philosophe comme anonymes sont nombreux à venir expliquer leur point de vue, celui que depuis des mois ils n’arrivent pas à transmettre, celui qui leur vaut d’être raillés, taxés de résistants, voire de complotistes. Celui-là même qu’ils ont osé exprimer à d’autres autorités sans jamais recevoir de réponse.
Version courte
Puis, au fil des interviews et documents présentés, alors qu’en nous monte l’amertume, on comprend que, finalement, le vrai objectif d’un tel documentaire n’est pas seulement de pointer l’incompétence des décideurs dans cette crise sanitaire ; on comprend que sous l’irrationalité des décisions prises se cache un autre débat, bien plus grave : « À qui profite le crime ? »
Pourquoi cette volonté de répandre la peur, étayée à coup de chiffres et d’études tronqués, de décisions appliquées arbitrairement ? Que se cache-t-il réellement derrière ces préoccupations sanitaires alors que le simple débat démocratique n’est plus de mise ? Pourquoi la gestion de cette maladie doit passer par ce terrorisme psychologique qui se transforme petit à petit en surenchère de mesures liberticides ?
« Le monde a bien changé en deux mois », dit l’un des intervenants. Un monde où l’humanité vit sous emprise, est surveillée, où la délation devient un mode de communication. »
En attendant le Great Reset
Alors arrive la fameuse prophétie d’un gouvernement mondial… Prophétie espérée et relayée sans vergogne et de longue date par les Attali, Bill Gates, Rockefeller de son vivant et bien d’autres. Un gouvernement mondial qui passe par la santé prétexte à la soumission : « Dès lors que vous faites croire à quelqu’un qu’il est en danger de mort, vous en faites ce que vous voulez. »
Le « Great Reset », c’est ce moment de transition qui, petit à petit, nous amène à cette gouvernance mondiale. Après la peur orchestrée sur la santé vient la mise en place de la cryptomonnaie, un vœu qui n’a rien de pieu et qui passe d’abord par le déploiement de la 5G, dont la haute capacité technologique permettra de contrôler tout individu. De quoi avoir le vertige… comme devant l’extrait de cette conférence donnée par le docteur Laurent Alexandre, en février 2019, devant un parterre d’étudiants de Polytechnique et Centrale Supelec : « Le monde complexe de demain ne peut être géré que par des intellos, dit-il, avec d’un côté des dieux, vous, qui maîtriserez, contrôlerez, managerez les technologies et, de l’autre, les inutiles, les gens moins favorisés… » À l’heure de l’intelligence artificielle, à quoi, en effet, pourraient servir ces derniers ?
L’endoctrinement des « élites » de demain
Si les bras ne vous en tombent pas… Il ne s’agit aucunement de science-fiction, mais d’images réelles que vous devez voir. Oui, c’est ainsi que sont éduquées, endoctrinées nos « élites » de demain… Celles-ci savent-elles que le nazisme, soutenu et financé par de grands groupes chimiques et pharmaceutiques, est né au lendemain de la terrible crise économique de 29… en l’absence de tout contre-pouvoir ? Est-ce cela le monde dont nous rêvons ? Peut-on encore espérer que rien n’est joué ? Il en va de l’engagement de chacun. Regardez ce film, offrez-le même à vos pires ennemis… on y parle aussi du réveil nécessaire de l’humanité.
Blandine BERTRAND
Journaliste indépendante pour Le Chou Brave
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