Auteur Claire Eggermont INREES Nos enveloppes supra-sensibles

 

Source : www.inrees.com
© INREES

Dans plusieurs traditions spirituelles anciennes, le corps physique n’est pas le seul que nous possédons. Traversés par l’énergie universelle, ces différents corps seraient, pour une santé globale, à entretenir autant que le corps physique. Découverte des corps subtils.

« Chaque partie de votre corps recèle des merveilles, des secrets et des miracles sacrés. Il est très important que l’être humain regagne un contact respectueux et même de l’admiration pour l’œuvre qui se cache dans son corps », affirme Shin, fondateur de l’école MIN-ILIT pour la paix libre et la dignité humaine. Pour les traditions anciennes, auxquelles se réfère ce maître spirituel, il est évident que notre corps physique ne pourrait exister sans être animé par une énergie vitale universelle, appelée selon les cultures qi, ki ou prâna. Les manuscrits de la mer Morte et les plurimillénaires védas donnent d’ailleurs des précisions étonnantes sur l’anatomie sacrée et énergétique du corps humain et sur la manière dont il serait « irrigué » par cette énergie. D’après ce savoir ancestral et les nombreuses recherches de thérapeutes et scientifiques actuels qui tendent à le confirmer, notre structure énergétique serait infiniment plus grande que notre corps physique, qui ne serait que la pointe émergée de l’iceberg de notre être.

Double éthérique

« Partie intégrante du corps physique de l’homme, mais aussi et surtout partie extérieure à celui-ci, le plaçant comme dans un cocon, c’est dans cette structure énergétique que tout se réunit, que tout est mis en place, que tout s’organise et que la vie prend forme. Elle est créée dans une architecture parfaite, dans cette notion de perfection liée à l’état primordial », écrit Monique Schloupt. Les recherches de cette énergéticienne rejoignent les courants de l’ayurvéda ou des soins esséniens selon lesquels chaque partie de notre corps aurait sa contrepartie sur le plan subtil. « Il n’existe pas la moindre cellule qui n’ait été préformée par une autre de nature éthérique, écrit Daniel Meurois.

Tout organe de chair possède, en amont, son double éthérique qui lui transmet ses caractéristiques et sa vitalité. » D’après ces lois, l’énergie cosmique, universelle ou divine – selon les appellations -, pénétrerait par le sommet de notre crâne et descendrait le long de notre corps par le « canal sushumna », sorte de double de notre colonne vertébrale. Décrit par Monique Schloupt comme le fil électrique qui permettrait à notre corps de fonctionner, ce canal irriguerait tout notre corps, rediffusant l’énergie au travers de sept centres principaux – les chakras – et de plusieurs dizaines de milliers de petites veines subtiles, appelées nadis« Plus une personne est élevée spirituellement, plus son canal s’amplifie et plus son corps sera empreint d’énergies jusqu’à ce qu’il en soit complètement immergé, accédant à un état de paix et de sagesse caractéristiques des personnes éveillées », précise Monique Schloupt.

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